lundi 20 octobre 2014

du 30 septembre au 4 octobre 2014 : Départ du Costa Rica et retour en Californie, San Francisco, la Vallée des vignobles

Mardi 30 septembre 2014 
Réveil à 5 h 30 ce matin, je dirais presque comme d'habitude. Je prépare notre dernier petit-déjeuner pris dans notre grande maison, tandis que Martina met un dernière fois la machine à laver à tourner avec tous les draps. Il fait très beau, comme bien souvent les matins ici.
Je donne ensuite un dernier coup de balai à la maison. On ne dirait pas que j'ai nettoyé hier balai et serpillière. La joie d'avoir un chien et trois chats à la maison.
Les enfants se réveillent. Allez, courage.
On reçoit la visite de Damaris, d'Herradura, la soeur de Seidi, qui vient nous dire au revoir. Puis arrive Teodoro, notre voisin et enfin Pedro, à qui nous remettrons les clés tout à l'heure. On profite pour faire quelques photos-souvenirs. 



C'est quand même génial tous ces gens qui ont fait le déplacement pour nous voir une dernière fois. Oui, on a créé de véritable liens d'amitié ce n'est pas exagéré, avec certaines personnes. Ce ne sera pas toujours facile de garder le contact, internet n'est pas chez tout le monde, mais on essaiera de faire passer des petits messages de temps en temps.

Les enfants vont dire un dernier au revoir aux petits chiens de Teodoro. L'un d'eux ressemble étrangement  DJ. Les enfants l'ont surnommé Gordo en rapport à un certain enbompoint le caractérisant.


Un théorie circule selon laquelle notre chien pourrait ne pas être étranger à cette progéniture. Cela restera pour nous à jamais un mystère.

Bill et Beth arrivent vers 7 h 10. On n'a du coup pas fini de fermer nos valises. Cela ne va pas nous retarder. 


On charge. ouahh le Toyota 4 Runner, pourtant une grande auto, est bien plein. 6 personnes + nos 7 bagages, nos 3 sacs à dos, la guitare, nos habits d'hiver (un jour on en aura besoin, c'est certain!) Bill immortalise ce chargement incroyable.
On dit un dernier au revoir à notre chienne Copper. On ne peut s'empêcher de verser une petite larme. Elle a été notre soutien dans l'épreuve de la perte de DJ et je pense qu'on lui a de notre côté donné beaucoup d'amour.

C'est parti. Il est 7h 45. Au revoir San Gerardo de Rivas. Quel bon temps on a eu ici. Je ne parle pas de ce 18 juillet mais bien de toutes ces gens que l'on a rencontrées. Reviendra-t-on un jour? On aimerait le promettre à tous ceux qui nous l'ont demandé, qui correspondent généralement aux personnes que l'on aimerait revoir.


Bill et Beth sont comme toujours de très bons compagnons de voyage.

Il nous faut 3 h 45 pour arriver à notre destination, l'Hôtel Holiday Inn Express de l'aéroport de San José.
Vers 11 h 30 donc, ils nous laissent avec nos bagages, devant l'hôtel. On leur dit au revoir puisque l'on se reverra en Equateur lors de leur séjour là-bas en novembre-décembre.
Ils vont se diriger à présent vers l'aéroport récupérer Tom et Linda, de la réserve de Cloudbridge à San Gerardo. C'est avec Linda que les enfants avaient suivi quelques cours de dessin avant son départ en mai. On aurait bien aimé les revoir, mais bon on se croise.

Notre chambre est prête. On peut s'installer.
L'hôtel a une piscine, mais hélas on ne peut l'utiliser car on y fait des plantations de fleurs. Va comprendre. On nous propose bien d'utiliser la piscine de l'hôtel juste à côté mais bon. Notre chambre est très confortable.

On va aller déjeuner en face dans un restaurant Denny's, enseigne américaine. Service efficace, on parle beaucoup anglais, les prix sont à l'avenant. On a tout simplement plus que doublé les tarifs par rapport à ce que l'on connait habituellement. Sans oublier qu'il faut rajouter au prix indiqué les taxes et services. Mais oui, vous savez c'est inscrit en tout petit. Un truc qu'il faut toujours regarder lorsque l'on sort au Costa Rica, surtout dans les endroits touristiques, ou bien le demander :"vos prix sont-ils taxes comprises?" sinon on peut être amené à rajouter +13% de taxes + 10% de service. CEla fait grimper vite une note.

L'après-midi va se passer tranquillement à l'hôtel. Repos et un peu d'internet, de musique, un dessin animé, et voilà.
On va se prendre un bain bien chaud, un luxe.

On retourne dîner chez Denny's. Les enfants dînent gratuitement les mardis soir. Il n'empêche que l'on s'en tire toujours pour plus de 40 dollars. On a perdu l'habitude de ces tarifs vraiment.
C'est notre dernière soirée au Costa Rica, pour de vrai. L'occasion de porter un toast au bon temps que l'on a passé ici.

On rentre à l'hôtel. On essaye bien de persuader les enfants qu'il faut vite se coucher, que le réveil va sonner à 3 h 30 demain matin, mais bon. Pas facile.

Dernier regard sur l'ordi, dernier courrier et dodo.


Mercredi 1ier octobre 2014
Le clairon sonne à 3 h 30 ce matin à l'Hôtel Holiday Inn Express de San Jose, Costa Rica.
Chez les enfants on peine un peu. Normal quand on peine à aller au lit.
Je sors récupérer un chariot et 4 sachets en papier petits-déjeuner, dispo à la réception.
Comme on n'a pas trop déballé d'affaires, la fermeture des bagages est rapidement faite.
On se rend compte que Maxime a dans son petit sac à dos son pistolet en métal, celui qui fait des pétards, acheté au Texas en novembre 2012. On lui fait mettre dans une grande valise pensant que cela n'était pas prudent de se trimbaler avec un pistolet sur nous dans un aéroport.
4 h 30 : on est à la réception avec tout notre chargement. Les autres clients et membres de l'hôtel sont impressionnés. La navette pour l'aéroport arrive tout de suite.
On n'a pas 2 kilomètres à faire.

Première chose en arrivant à l'aéroport, payer la taxe de sortie du territoire. C'est plus cher que lorsque nous sortions à pied par le Panama puisqu'il faut régler 29 dollars par personne. Une particularité assez onéreuse tout de même. Pour nous 4 ce seront 63.000 colones, soit quelques 120 dollars. Voici donc mes derniers colones envolés dans le règlement de cette taxe.
Nous pouvons ensuite, après avoir rempli les documents que l'on nous distribue, nous faire enregistrer ainsi que nos bagages.
Notre grosse valise, dans laquelle pourtant il y a encore beaucoup de place, totalise 26,8 kg. Les autres sont en-dessous des 23 kg, mais peu importe et à l'enregistrement on ne veut rien savoir. Nous devront régler 4 kg de supplément bagage soit 60 dollars. La chose stupide est que l'on aurait pu avoir un 8 ième bagage à la limite, et donc 23 kg de plus mais bon, non il faut règler pour les 4 kg de cette valise. Le règlement c'est le règlement, hein?
Toujours est-il que l'enregistrement est fait.
On passe les portiques de sécurité avec tout notre équipage. Nous arrivons à la salle d'embarquement.


Je vois approcher un employé de la compagnie sur laquelle nous volons, Aeromexico,  qui me demande de le suivre. Il m'indique que l'on soupçonne la présence d'une arme dans nos bagages. Ohh p.. le pistolet en métal du gosse. Trop réaliste en métal, il fait des siennes sur l'écran de sécurité des douaniers.
Je dois venir authentifier le bagage. On m'entraîne vers l'embarquement, non ce ne sera pas là. Une dame me montre le scanner de notre valise. Oui, c'est bien cela, c'est une superbe photo du pistolet. Un autre truc dans le même bagage attire leur attention, qui selon eux pourrait être des cartouches. Ben pourquoi pas une bombe pendant qu'on y est Pas bien, non?
Je dois enfiler le gilet jaune et suivre une autre personne jusque les sous sols de l'aéroport. La police m'attend avec les employés. On me demande l'autorisation d'ouvrir ma valise, autorisation que je m'empresse de donner.
Le pistolet apparaît bien-sûr. Je leur confirme que c'est bien un jouet, que j'avais le même quand j'étais gamin. Je présente mes excuses sans omettre cependant qe je voyage avec ce "jouet" dans nos bagages depuis pas loin de 2 ans et qu'il a déjà réaliser 4 vols ainsi au départ des Etats-Unis, d'Angleterre, de France et d'Espagne sans encombre. Eh bien sachez-le, les règlementations en matière de transport d'arme (même fausse en l'occurence et au fond de votre valise) sont extrêmement sévères au départ d'Amérique centrale.
Reste cette histoire de cartouches. Qu'est-ce que cela peut bien être? On m'interroge. Je réponds que j'ignore bien sincèrement ce qui peut apparaître ainsi sur leur écran et ainsi leur faire penser qu'il y a des cartouches dans ma valise. En fin de compte on se rendra compte qu'il s'agit des gommes des enfants, non encore utilisées et bien alignées dans un paquet encore fermé qui ont fait cette ombre suspecte. Sachez-le, le transport de gommes d'école dans une valise en Amérique centrale est considéré comme suspect.
Résultat des courses, on me confisque le pistolet, me disant que je ne peux voyager avec un tel objet. J'objecte une dernière fois, je me permets un petit énervement, rien du tout, non, juste une petite humeur, on est Français ou on ne l'est pas. Je dois remballer ma valise, ma pharmacie et refermer le tout. A voir si on retrouvera bien cette valise à Mexico city.

Je remonte à l'embarquement, qui est terminé. Je suis le dernier à monter à bord. On est toujours dans les temps pour le décollage, pas de souci. Maxime, bien entendu, n'est pas vraiment heureux de la nouvelle. Son pistolet, qu'il tenait absolument à ramener de France après être revenu des Etats-Unis dont il a effectué un tour complet, être passé respectivement par les rayons X des aéroports de San Diego, Londres, Marseille, Madrid, Miami et une première fois San José, Costa Rica va terminer sa carrière ici-même, au Costa Rica.

En tous les cas, voici notre avion prêt pour le départ. Et on est à l'heure.


3 heures plus tard, nous voici au-dessus de Mexico City, la capitale du Mexique. Cette ville s'étend à l'infinie, complètement fou. On peut admirer son fameux brouillard de pollution. Pour info, j'ai fait mes petites recherches, la ville, située à 2.240 m. d'altitude, s'étend effectivement sur près de 1.500 km2 (cela peut ressembler à l'infini vue de notre avion en approche) avec une population de quelques 20 millions d'habitants pour l'agglomération (quasi 9 millions rien que la ville)


On nous informe au moment de débarquer de l'avion que la Police a justement choisi notre avion, quel honneur, pour effectuer une fouille approfondie de sécurité. 
Y a pas à dire, cela doit être notre jour de chance.
Tiens cette fois, je suis sûr ils vont trouver mon couteau de cuisinier que Frank m'a envoyé des Etats-Unis et me le confisquer aussi. Ou bien, notre carton plein de livre va être complètement éventré.

Bon on passe la douane, on commence à attendre nos bagages. Comme promis cela va durer un certain temps mais pas tout à fait une heure comme cela aurait pu nous avait on prévenu.

Je ne peux m'empêcher avec Etienne de penser à notre dernier voyage en avion où il fallait également attendre notre cher DJ.

Tous nos bagages arrivent. Ils semblent intact à l'exception en effet de notre carton de livres qui a reçu quelques coups de couteau sur les flans. Je demande à une employée de me prêter son scotch marron pour reboucher les trous (une grande question qui a nécessité des regards d'intelligence avce son collègue pour obtenir l'approbation de ce dernier et tout).
On refait passer le tout aux portiques de sécurité, à 20 mètres de là, et on repose nos bagages sur un tapis roulant pas beaucoup plus loin, pour qu'ils aillent rejoindre leur correspondance. Eh ben c'était bien la peine, tout cela mais bon. Le règlement, c'est le règlement, encore une fois.

On n'a plus qu'à patienter nos 8 heures jusque notre prochain vol qui part de Mexico pour San Francisco ce soir à 20 h 30.
On repasse des portiques de sécurité et on accède à l'étage des magasins duty free et des compagnies de restaurant, Starbucks, Subway. On s'y croirait déjà.

On s'installe et on va s'acheter des salades et burritos. C'est quand même long 8 heures. On en profite pour travailler sur nos ordi, Etienne lit, Maxime, privé de lecture regarde lesredif' de matchs de foot sur les écrans.

Le décollage pour San Francisco s'effectuera à l'heure. Si de jour, Mexico city est impressionnant de par son étendue, que dire de nuit? Les lumières s'étendent réellement à l'infini. Bon désolé, je n'ai pas réussi à faire une bonne photo de nuit.


Encore un vol sans souci qui va arriver à l'heure à San Francisco quelques 4 h 30 plus tard. Nous venons de perdre 2 heures. Il est par conséquent pas encore 23 heures lorsque nous arrivons sur le sol américain. Installés au rang numéro 8, nous sortirons rapidement de l'avion, nous permettant de nous diriger assez rapidement vers les services d'immigration. Une fois n'est pas coutume aux Etats-Unis, nous n'aurons pas à attendre, puisque nous arrivons les premiers ou presque de notre avion.
Nous récupérons nos bagages et repérons la sortie des navettes hôtel. Notre hôtel, le City Garden Inn, propose une navette jusque une heure du matin.



Hey, oui les gars, nous voici de retour en Californie, et comme on peut le voir on n'a perdu aucun bagage.
Efficaces jusqu'au bout, à minuit et 15 minutes, nous sommes à l'hôtel, on a pris une douche et on est prêt à se coucher. Ouf, quelle journée!

Jeudi 2 octobre 
Réveil sous le superbe ciel bleu de Californie.


Nous nous rendons au petit-déjeuner. Etienne retrouve avec bonheur son beurre de cacahuète, les pan cakes..
L'hôtel est aujourd'hui plein de retraités Français en voyage de groupe dans l'Ouest américain. Ils ont fait le Grand Canyon, Monument Valley, Las Vegas, et j'en passe en un temps record. Je discute avec l'un d'entre eux, un normand à qui je semble donner une idée avec mon voyage en Camping-Car. Il prend nos coordonnées blog.

Nous devons rejoindre aujourd'hui nos amis Frank et Anita. Ils habitent à présent près de Sonoma, au coeur du pays des vignobles, proche de Napa. Pour ceux qui nous suivent nous avions logé chez eux, à l'époque en Nouvelle Angleterre, Massachussets, près de Boston en octobre 2012 et avril 2013. Ils ont enfin réussi à vendre leur très jolie maison, l'immobilier sur la Côte Est n'a rien à voir à celui de San Francisco, en permanente effervescence.
L'aéroport de San Francisco est assez au sud de la ville et nous devons traverser la baie située au nord et Sonoma est encore à une bonne heure de route au-delà. Nous avons demandé à Frank de nous récupérer à Larkspur, ville où réside leur fille, Julie. Nous pension initialement prendre le Ferry qui part de l'embarcadero. Mais nous avons trouvé une solution bien meilleure, le Marin Airporter. Il va nous emmener directement de l'aéroport jusque Larkspur, de l'autre côté du Golden Gate, sans avoir à nous trimballer les bagages sur l'embarcadère et le Ferry. Pour ce faire, nous allons reprendre la navette de l'hôtel et descendre au niveau 2 d'où partent les bus du Marin Airporter. Il y a de ces bus toutes les 1/2 heures, c'est vraiment très pratique. Pour ceux qui vont seulement en ville, les métros Bart sont une excellente solution également.
Nous donnons un coup de fil à Frank et Anita leur disant que nous serons à Larkspur vers midi, et c'est parti.


On retrouve l'architecture caractéristique de San Francisco. Non, vraiment très content de revenir ici.
On récupère la 19th rue en direction du nord. On coupe le grand Parc de San Francisco. On arrive vers la baie.


Traversée du Golden Gate


On repasse le fameux village de Sauselito et ses maisons sur piloti sur la baie (au fond San Francisco), célèbre pour ses hippies dans les années 60 et du summer love.

On arrive à Larkspur après une heure de Bus. Juste avant d'arriver, on passe devant le camping où nous étions restés 5 nuits, fin août 2013 avec notre camping Car.
Frank arrive vers midi. Ils ont bien fait de garder la Volvo. Il nous faudra bien cette grande voiture pour tout loger nos bagages. Bon on en a un peu partout sur les genoux et sous les pieds, mais cela rentre.

On retrouve cette route que nous avions déjà parcouru l'année passée en direction de Sonoma. Une fois que l'on quitte la 101 en direction de Vallejo par la 37, on change de paysage. Quand on prend plus loin à gauche direction Sonoma, c'est encore mieux. 


On entre vraiment dans le pays des vignobles. Des collines à gauche, c'est très chouette ici. Mais bon sang, que c'est sec. On croirait des dunes.


On fête l'arrivée comme il se doit.


L'ambiance de cette maison a l'exemple de sa cour interieure est vraiment tres ¨cosy¨

Vendredi 3 octobre

Petite photo de la maison ou nous serons installes les prochains 10 jours, chez nos amis Frank et Anita.
Vendanges; d'abord Frank et moi dans un vignoble pas très loin. On remplit rapidement un grand bac de Cabernet Sauvignon.
De retour à la maison, on ira chez le voisin lui vendanger un peu de raisin, histoire de réaliser un petit "blend" ou assemblage.

 

Tout le mode participe a la future cuvee de Frank.


Bien équipé le voisin avec son erafleuse, meme si je dois lui donner un coup de cle pour resserer les boulons.

Maxime s'est porte volontaire pour ¨fouler aux pieds¨ cette recolte.


Etienne, lui, prefere regarder le taux de sucre de notre recolte.
On rentre le tout bien a l'abri dans la cave de Frank.



Nous préparons un Crumble pomme, raisin et bananes et des pizzas

Samedi 4 octobre
Après un petit déjeuner tardif, nous devons rejoindre Julie et les enfants à une ferme où l'on "chasse" le pumpkin.



Sympa l'idee du bac a sable, fait de grains de maïs, non?


C'est aussi une ferme ici. Eh, mais traire les vaches, je sais deja faire moi, non mais!


Voici nos futures victimes-citrouilles qu'il va falloir creuser.

Eh oui, Halloween approche. On avait pu voir l'an passé sur Malibu que les citrouilles débarquaient déjà mi-septembre alors qu'Halloween est le 31 octobre.

De retour on s'arrête chez Trader's Joe, un supermarché plutôt bon chic pour faire des courses pour les jours à venir: légumes, fruits, céréales, graines, un peu de viande, jus d'orange, lait d'amande pour moi (la même marque "Pacific" en provenance de l'Oregon que celle que j'achetais au Costa Rica mais ici deux fois moins cher. Normal, au Costa Rica, c'était un produit d'importation de luxe)

Chez Frank et Anita, c'est pleine periode de chute de chataignes. Si au moins on pouvait les manger, mais non. Dommage.



Qu'a cela ne tienne, les enfants ont trouve une occupation, deux armees se faisant face. Dahdahh! C'est sur, cela va saigner.



Bien-sur, des qu'on arrive, il faut se mettre a travailler les citrouilles. Heureusement, la grande experience d'Anita va aider



Tres beaux resultats, les gars, du bon boulot.



Allez, demain, on prend la direction du Ranch de Jack London, un natif du coin.

1 commentaire:

  1. Coucou les amis, c'est toujours un réel plaisir de vous lire, et de suivre vos aventures,,on pense bien à vous, Sorry for the gun ... et pour Dj.
    gros bisous, nous avons un second petit chat momo, noir et blanc, encore tout peti, c'est super !

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